3 semaines d'activité après la sortie officielle de Bing, on peut constater que la part de visites de ce dernier en France est inférieure (2.8% en moyenne) à celle de Live Search (2.9% en moyenne), son prédécesseur.
Ce phénomène tant voulu et attendu par Microsoft n'a donc pas eu lieu en France. En effet, malgré un nouveau design et quelques fonctionnalités ici et là, Bing reste toujours dans une version bêta proposant peu de nouveautés par rapport à la version américaine qui elle est en version finale.
De son côté Google ne change pas de cap et confirme sa position de leader incontesté.
Ce non succès marque-t-il une fois de plus l'incapacité de Microsoft à convaincre dans le domaine de la recherche ou est-ce tout simplement une question d'habitude des internautes ?
Ce phénomène tant voulu et attendu par Microsoft n'a donc pas eu lieu en France. En effet, malgré un nouveau design et quelques fonctionnalités ici et là, Bing reste toujours dans une version bêta proposant peu de nouveautés par rapport à la version américaine qui elle est en version finale.
De son côté Google ne change pas de cap et confirme sa position de leader incontesté.
Ce non succès marque-t-il une fois de plus l'incapacité de Microsoft à convaincre dans le domaine de la recherche ou est-ce tout simplement une question d'habitude des internautes ?
Google serait-il inquiet ? Google aurait rassemblé une équipe d'ingénieur pour comprendre l'algorithme de Bing
FEAR GRIPS GOOGLE
You'd think nothing would get under the skin of search giant Google.
But co-founder Sergey Brin is so rattled by the launch of Microsoft's rival search engine that he has assembled a team of top engineers to work on urgent upgrades to his Web service, The Post has learned.
MICROSOFT'S 'DECISION ENGINE' DECIDEDLY RACY WITH VIDEOS
Brin, according to sources inside the tech behemoth, is himself leading the team of search-engine specialists in an effort to determine how Bing's crucial search algorithm differs from that used by the company he founded in 1998 with Stanford University classmate Larry Page.
"New search engines have come and gone in the past 10 years, but Bing seems to be of particular interest to Sergey," said one insider, who spoke on the condition of anonymity.
The move by Brin is unusual, as it is rare these days for the Google founders to have such hands-on involvement in day-to-day operations at the company, the source added.
A spokesman for Google declined to comment about Brin's interest in Bing but said: "We always have a team working on improving search." He added: "We dedicate more time and energy to search than anything else in our company. Our algorithm is constantly evolving."
Microsoft launched Bing two weeks ago with a massive marketing budget that sources say ranged between $80 million and $100 million.
The software company has struggled to survive in the Internet-search business, with its former MSN search engine managing to grab only 8 percent of the lucrative search market share -- far behind Google's 60 percent and Yahoo!'s 20 percent share.
In fact, Microsoft CEO Steve Ballmer, in an effort to close the gap on Google, last year made an offer to buy Yahoo! That offer was rejected. More recently, pre-Bing, there had been talk of Microsoft being interested in some sort of deal or partnership with Yahoo! search.
Those efforts have cooled.
Bing has been warmly greeted by analysts, critics and users alike who seem to largely welcome Microsoft's new approach to the everyday business of searching the Internet. Early statistics show Bing increasing Microsoft's market share by two percentage points, to about 11 percent -- but that the gains largely didn't come from Google or Yahoo!
Microsoft prefers not to use the term "search engine," however, choosing instead to describe Bing as a "decision engine."
While Bing is presented differently from Google -- with a colorful home page and easy-to-navigate search categories compared with Google's stark white page and search box -- there is little difference between the two when it comes to searching for simple terms.
A spokeswoman for Microsoft said, however, that Bing is currently focused on improving search results in four main categories: shopping, travel, health and local searches.
Scott Kessler, senior equity research analyst at Standard & Poor's, and a Google specialist, said that Bing has a lot going for it but he does not expect it to knock Google from its No. 1 perch.
"In a recent survey we found that the predominant features that dictate how people search the Internet are ease of use and force of habit. Google has been so dominant for so long that it will be tough for anyone to take significant market share away from them." Source
Pour concurrencer Google, Microsoft enterre Live Search et lance son Bing
La firme de Redmond a mis fin aux rumeurs en officialisant le nom de son nouveau moteur de recherche. Exit Kumo. Bienvenue à Bing dont le nom résonne comme l’espoir de la dernière chance.
Longtemps appelé Kumo, le nouveau moteur de recherche de Microsoft s’appellera finalement Bing. Présenté jeudi par Steve Ballmer à la D7 Conference, en Californie, Bing (disponible en bêta) remplacera Live Search dès lundi 1e juin aux Etats-Unis, puis dans le reste du monde à partir de mercredi.
Aux USA, avec un peu plus de 8% de part de marché sur le secteur de la recherche sur Internet, Microsoft est clairement distancé par Google et ses 64% de PDM, mais aussi par Yahoo ! qui, malgré ses soucis, reste utilisé par 20% des internautes américains.
Incapable de trouver un accord avec Yahoo !, Microsoft a donc choisi de revoir complètement sa stratégie en matière de recherche. Les premières images de Bing nous montrent un moteur de recherche qui ne joue pas dans la cour d’un Google mais plutôt de Yahoo !.
Ainsi, après une requête, l’utilisateur aura accès à des résultats classés par thèmes. Par ailleurs, pour attirer les annonceurs, Microsoft a choisi de placer des offres de comparateurs de prix directement dans les résultats.
Pour justifier ce choix de résultats ciblés et non exhaustifs, Microsoft affirme que 15% des recherches sont abandonnées, faute de réponse.
L’avenir dira si Bing est capable de contenter ses 15% de requêtes.
Pour séduire les internautes, Microsoft a donc misé sur un terme dynamique et facile à retenir, et évidemment sur sa force de frappe puisque 100 millions de dollars devraient être consacrés à la publicité de son dernier bébé.
Quoi qu’il en soit, 2009 sera une année charnière pour Microsoft avec le lancement de Bing, mais aussi de Windows 7 dans quelques mois.
Bing version française est dispo depuis ce week end : http://www.bing.com/
C'est une version moins complète que la version US, parce que certains services basées sur certains sites n'existent pas en français...
La firme de Redmond a mis fin aux rumeurs en officialisant le nom de son nouveau moteur de recherche. Exit Kumo. Bienvenue à Bing dont le nom résonne comme l’espoir de la dernière chance.
Longtemps appelé Kumo, le nouveau moteur de recherche de Microsoft s’appellera finalement Bing. Présenté jeudi par Steve Ballmer à la D7 Conference, en Californie, Bing (disponible en bêta) remplacera Live Search dès lundi 1e juin aux Etats-Unis, puis dans le reste du monde à partir de mercredi.
Aux USA, avec un peu plus de 8% de part de marché sur le secteur de la recherche sur Internet, Microsoft est clairement distancé par Google et ses 64% de PDM, mais aussi par Yahoo ! qui, malgré ses soucis, reste utilisé par 20% des internautes américains.
Incapable de trouver un accord avec Yahoo !, Microsoft a donc choisi de revoir complètement sa stratégie en matière de recherche. Les premières images de Bing nous montrent un moteur de recherche qui ne joue pas dans la cour d’un Google mais plutôt de Yahoo !.
Ainsi, après une requête, l’utilisateur aura accès à des résultats classés par thèmes. Par ailleurs, pour attirer les annonceurs, Microsoft a choisi de placer des offres de comparateurs de prix directement dans les résultats.
Pour justifier ce choix de résultats ciblés et non exhaustifs, Microsoft affirme que 15% des recherches sont abandonnées, faute de réponse.
L’avenir dira si Bing est capable de contenter ses 15% de requêtes.
Pour séduire les internautes, Microsoft a donc misé sur un terme dynamique et facile à retenir, et évidemment sur sa force de frappe puisque 100 millions de dollars devraient être consacrés à la publicité de son dernier bébé.
Quoi qu’il en soit, 2009 sera une année charnière pour Microsoft avec le lancement de Bing, mais aussi de Windows 7 dans quelques mois.
Bing version française est dispo depuis ce week end : http://www.bing.com/
C'est une version moins complète que la version US, parce que certains services basées sur certains sites n'existent pas en français...
A lire aussi sur ce sujet :
Google à 90% de parts de marchés en France et 98% sur les informaticiens
Microsoft a-t-il peur d'un monopole du net pour Google avec le navigateur Chrome ?