BSA : Baisse du taux de piratage de logiciels en France
Passé de 45% à 41%. Qu'est ce qui explique cette baisse ?
Le 2009-06-23 21:09:38, par Gordon Fowler, Expert éminent sénior
Mise à jour du 12/05/10
En France, 4 logiciels sur 10 sont piratés
D'après BSA : et d'après votre expérience ?
Bon ou mauvais élève ? Tout est question de point de vue.
Avec un taux de 40 % de logiciels piratés (entreprises et particuliers cumulés), la France se classe dans la moyenne mondiale selon l'estimation annuelle que vient de publier la Business Software Alliance (BSA).
Ce chiffre, considéré comme en recul par l'alliance, est en fait quasiment stable (41 % l'année dernière). Il représenterait un chiffre d'affaires de 2 544 millions de dollars.
Comparée aux premiers de la classe, la France fait donc pâle figure. Les Etats-Unis et le Japon (avec des taux respectifs de 20 et 21 %) affichent en effet des scores bien meilleurs.
Mais comparé au Brésil (56 %), à l'Inde (65 %) ou à la Chine (79 %), la France n'est pas un champion de l'illégalité non plus.
La progression du piratage au niveau mondial resterait en revanche palpable en passant de 41 à 43 % de logiciels utilisés sans licence.
Si l'on se penche sur la francophonie, là encore les chiffres sont mitigés pour le pays de Molière. La Belgique (25 %), la Suisse (25 %) ou le Canada (29 %) font largement mieux. A noter que plus le PIB d'un pays est bas, plus le taux de piratage explose. Le piratage en Afrique francophone est donc sans surprise plus important .
L'étude pose néanmoins question sur sa méthodologie, pas toujours très claire, lorsqu'il s'agit d'expliquer comment sont évalués ces taux.
Le rapport souligne également que le Cloud Computing (qui n'est, par définition, pas piratable) et surtout le logiciel libre n'influeraient pas sur l'usage de logiciels illégaux.
Là encore une conclusion qui ne manquera pas d'attirer la curiosité.
Bref, une étude intéressante, qu'il faut néanmoins prendre avec des pincettes et recouper avec vos expériences.
D'ailleurs, pour vous ? Ces chiffres du piratage en France, Canada, Belgique et dans le monde de la francophonie vous paraissent-ils conforment à la réalité que vous rencontrez au jour le jour ?
Source : L'étude complète (pdf)
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MAJ de Gordon Fowler
Baisse du taux de piratage de logiciels en France
Le piratage de logiciels n’en finit pas de parler de lui ! Malgré la tendance à la baisse du taux de piratage en France publié par Business Software Alliance (BSA), l’Hexagone reste encore supérieur à la moyenne européenne (35% ). En l’espace de deux ans ce taux est passé de 45% à 41%., selon Natacha Jollet-David, porte-parole de BSA. En France, près d’un logiciel sur deux a été installé de façon illégale tandis que chez nos voisins allemands ou britanniques, la contrefaçon de logiciels ne concerne plus que 27% d’un parc informatique
Le mode de calcul prête déjà à contreverse : ce taux représente en effet, la différence entre le nombre de logiciels installés et ceux acquis ou achetés légalement rapporté au nombre total de logiciels installés pendant une année. Le gros du travail effectué par le cabinet IDC concerne donc l’évaluation du nombre total de logiciels installés dans un pays. Le chiffre en lui-même n’est pas le plus important, les éditeurs préfèrent plutôt se focaliser sur l’évolution de la tendance enregistrée d’une année à l’autre.
L’origine de la baisse
Cette importante baisse enregistrée sur le territoire français est le fruit d’une meilleure connaissance et application du Code de la propriété intellectuelle et du « combat »sans relâche mené par le BSA. La sanction civile et pénale est lourde, sans parler des autres préjudices que peuvent encourir l’entreprise contrevenante. Sur le plan pénal, en plus d’une amende qui peut aller de 300 000 euros à 1,5 millions d’euros, le dirigeant coupable peut écoper d’une peine d’emprisonnement de trois ans. De surcroît, ce dernier ou son entreprise devra verser un dédommagement dont le montant peut parfois atteindre le double de la valeur des logiciels piratés. Enfin, l’utilisateur de logiciel piraté passe à côté des services accompagnant tout logiciel acquis légalement tels que les mises à jour, les correctifs ou les formations offertes gracieusement par les éditeurs.
Ça existe du légal gratuit? Oui... enfin presque
Pour échapper au coût que représente l’acquisition d’un logiciel et des risques encourus en utilisant des logiciels piratés, beaucoup d’entreprises optent pour des logiciels open source. Mais attention, l’utilisation de ces logiciels, librement accessibles, n’est pas forcément gratuite, prévient Natacha Jollet-David. Dans la plupart des cas, les supports techniques, la formation et l’assistance à l’utilisation fournis par des prestataires ou des entreprises privées sont payants. Cependant, Natacha Jollet-David avoue que cette « concurrence » entre le logiciel commercial et l’open source s’avère très utile pour l’innovation technologique et économique de ce domaine. Certains logiciels comportent même une partie commerciale et une partie open source !
En France, 4 logiciels sur 10 sont piratés
D'après BSA : et d'après votre expérience ?
Bon ou mauvais élève ? Tout est question de point de vue.
Avec un taux de 40 % de logiciels piratés (entreprises et particuliers cumulés), la France se classe dans la moyenne mondiale selon l'estimation annuelle que vient de publier la Business Software Alliance (BSA).
Ce chiffre, considéré comme en recul par l'alliance, est en fait quasiment stable (41 % l'année dernière). Il représenterait un chiffre d'affaires de 2 544 millions de dollars.
Comparée aux premiers de la classe, la France fait donc pâle figure. Les Etats-Unis et le Japon (avec des taux respectifs de 20 et 21 %) affichent en effet des scores bien meilleurs.
Mais comparé au Brésil (56 %), à l'Inde (65 %) ou à la Chine (79 %), la France n'est pas un champion de l'illégalité non plus.
La progression du piratage au niveau mondial resterait en revanche palpable en passant de 41 à 43 % de logiciels utilisés sans licence.
Si l'on se penche sur la francophonie, là encore les chiffres sont mitigés pour le pays de Molière. La Belgique (25 %), la Suisse (25 %) ou le Canada (29 %) font largement mieux. A noter que plus le PIB d'un pays est bas, plus le taux de piratage explose. Le piratage en Afrique francophone est donc sans surprise plus important .
L'étude pose néanmoins question sur sa méthodologie, pas toujours très claire, lorsqu'il s'agit d'expliquer comment sont évalués ces taux.
Le rapport souligne également que le Cloud Computing (qui n'est, par définition, pas piratable) et surtout le logiciel libre n'influeraient pas sur l'usage de logiciels illégaux.
Là encore une conclusion qui ne manquera pas d'attirer la curiosité.
Bref, une étude intéressante, qu'il faut néanmoins prendre avec des pincettes et recouper avec vos expériences.
D'ailleurs, pour vous ? Ces chiffres du piratage en France, Canada, Belgique et dans le monde de la francophonie vous paraissent-ils conforment à la réalité que vous rencontrez au jour le jour ?
Source : L'étude complète (pdf)
Lire aussi :
Les rubriques (actu, forums, tutos) de Développez :
MAJ de Gordon Fowler
Baisse du taux de piratage de logiciels en France
Le piratage de logiciels n’en finit pas de parler de lui ! Malgré la tendance à la baisse du taux de piratage en France publié par Business Software Alliance (BSA), l’Hexagone reste encore supérieur à la moyenne européenne (35% ). En l’espace de deux ans ce taux est passé de 45% à 41%., selon Natacha Jollet-David, porte-parole de BSA. En France, près d’un logiciel sur deux a été installé de façon illégale tandis que chez nos voisins allemands ou britanniques, la contrefaçon de logiciels ne concerne plus que 27% d’un parc informatique
Le mode de calcul prête déjà à contreverse : ce taux représente en effet, la différence entre le nombre de logiciels installés et ceux acquis ou achetés légalement rapporté au nombre total de logiciels installés pendant une année. Le gros du travail effectué par le cabinet IDC concerne donc l’évaluation du nombre total de logiciels installés dans un pays. Le chiffre en lui-même n’est pas le plus important, les éditeurs préfèrent plutôt se focaliser sur l’évolution de la tendance enregistrée d’une année à l’autre.
L’origine de la baisse
Cette importante baisse enregistrée sur le territoire français est le fruit d’une meilleure connaissance et application du Code de la propriété intellectuelle et du « combat »sans relâche mené par le BSA. La sanction civile et pénale est lourde, sans parler des autres préjudices que peuvent encourir l’entreprise contrevenante. Sur le plan pénal, en plus d’une amende qui peut aller de 300 000 euros à 1,5 millions d’euros, le dirigeant coupable peut écoper d’une peine d’emprisonnement de trois ans. De surcroît, ce dernier ou son entreprise devra verser un dédommagement dont le montant peut parfois atteindre le double de la valeur des logiciels piratés. Enfin, l’utilisateur de logiciel piraté passe à côté des services accompagnant tout logiciel acquis légalement tels que les mises à jour, les correctifs ou les formations offertes gracieusement par les éditeurs.
Ça existe du légal gratuit? Oui... enfin presque
Pour échapper au coût que représente l’acquisition d’un logiciel et des risques encourus en utilisant des logiciels piratés, beaucoup d’entreprises optent pour des logiciels open source. Mais attention, l’utilisation de ces logiciels, librement accessibles, n’est pas forcément gratuite, prévient Natacha Jollet-David. Dans la plupart des cas, les supports techniques, la formation et l’assistance à l’utilisation fournis par des prestataires ou des entreprises privées sont payants. Cependant, Natacha Jollet-David avoue que cette « concurrence » entre le logiciel commercial et l’open source s’avère très utile pour l’innovation technologique et économique de ce domaine. Certains logiciels comportent même une partie commerciale et une partie open source !
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GoustiFruitMembre éclairéQue la proportion de logiciels piratés soit en baisse ne veut pas forcément dire que la répression est plus efficace, mais plutôt je pense que les mœurs changent et qu'on préfère passer à l'Open-Source. Pour pouvoir affirmer que la lutte contre le piratage fonctionne, il faudrait donner des chiffres de ventes de licences stables ou en hausse, mais on peut rêver. C'est comme pour le chômage quand il est censé diminuer: il vaudrait mieux donner le nombre de travailleurs réels (qui devrait don être en hausse ?), en plus c'est tellement plus simple à mesurer.le 24/06/2009 à 9:56
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guigz2000Membre avertiIl y a jamais d'excuse pour pirater. C'est du vol,point barre!
Tu ne vas pas partir de chez casino sans payer tes courses sous pretexte qu'ils ont une position dominante. C'est pareil pour les softs. S'il te manque une fonctionnalité dans openoffice, soit tu t'en passes, soit tu te la programmes.(concernant le format,rien t'empeche d'utiliser un format plus ancien et compatible d'ailleur)le 13/05/2010 à 11:30 -
cahnoryMembre avertiTiens j'avais en tête l'exemple du coca-cola
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Sinon pour moi le gros du problème vient de notre société en générale qui baffoue ou rappel la morale au grè des besoins.
C'est très criant pour les oeuvres artistiques, on a la majore qui prétendant protéger les artistes et par extensions leurs oeuvres renvoient les gens à la morale (payer l'auteur sinon c'est la mort de l'art), morale qu'ils oublient à leur tour au besoin (on peut relativiser si l'on veut sur la part d'art qu'il peut y avoir dans une série télé mais ça reste une création de l'esprit, une oeuvre qui doit donc être prise comme l'auteur l'exécute et nous l'envoit et qui pourtant sera diffusé dans le désordre par tf1 pour ne citer qu'eux).
C'est pour ça que pour moi chaqu'un doit être avant tout honnête avec soit même, je lisais qu'il était difficile d'envoyer des doc open offices à des clients/presta... c'est vrai maintenant c'est la faute de qui et donc qui doit en payer le prix ? Microsoft qui a fait un logiciel meilleur que les autres ou qui l'a trop bien vendu ? Je ne pense pas, vous qui utilisez une alternative qui vous convient tout aussi bien et qui est gratuite ? non plus, le client qui veut pas faire l'effort (au passage je me dis qu'openoffice enregistre pour excel mais bon ça reste un exemple) de s'en accomoder ? surement mais c'est dur de s'imposer ou ça prend du temps d'éduquer... oui mais à qui la faute ?...
Alors oui parfois on trouve pas de solutions, ou ça nous paraît trop dur et on peut faire le choix de la facilité (ça arrive, c'est humain) et pirater un titre, film, logiciel, voler une pomme sur un marché un singe sur l'épaule (oui même disney nous le dit) mais dans de telle circonstance pourquoi en faire l'apologie, l'élever en mode de vie ? car si tout le monde fait la même connerie elle paraît moins grave.
Je dis ça car comme beaucoup j'ai utilisé des logiciels piratés, téléchargé ma musique et ma vidéo... oui mais j'étais loin d'en être fier et ce n'est même pas excusable, c'était de la facilité et ce n'était certainement pas un crime sans victime. Maintenant ma collection de dvd/bluray ne cesse d'augmenter, je retourne avec grand plaisir au cinéma, je me plais à imaginer la petite équipe de développeur voyant ma contribution monétaire gonfler son porte monnaie quand je paye pour une application...le 13/05/2010 à 17:46 -
LycheExpert éminentSimplement parce que si une loi existe c'est que l'enfreindre peut à tout moment nuire à Autrui.
Imagine, tu es dans un coin désert, une route de campagne en ligne droite et tu veux accélérer un peu.. Et là, pof un vélo passe que tu ne vois pas et tu l'embroches..
A la question, "en ai-je le droit?", je dirai non, par définition.
A la question "est-ce mal ou grave?", je dirai que ça reste à voir
Je serai surement de mauvais poil sur le coup, mais ce qui compte n'est-il pas plutôt ce que je pense à froid? A savoir que cette loi est nécessaire. Je l'enfreins, je sais, très bien ce que je risque. Il est bien entendu que je serai pour faire évoluer cette loi, mais je suis aussi conscient de la difficulté/l'impossibilité de faire une loi universelle. A moi de faire preuve de bon sens, ce qui manque effectivement beaucoup dans ce pays.
La loi ne me passionne pas à ce point. Je n'irai pas jusqu'à dire que l'enfreindre est un modèle, mais si elle n'est pas adaptée je ne vois pas ce qui moralement m'impose de la respecter.
Soit dit en passant le débat était à la base justement sur le bien-fondé de la répression du piratage, ou pour le dire autrement: cette loi est-elle justifiée.
Il me semble qu'on a encore le droit de critiquer une loi ou sa mise en œuvre sans être un criminel.
Ben... oui, pourquoi pas? Rien n'est jamais acquis, la société change, les habitudes et la morale aussi, pourquoi en serait-il différent des lois?
Je suis un peu abasourdi par tes propos, je les trouve à la limite du choquant en faite. Je suis peut-être vieux jeu, mais il y a des choses qui m'importent et lire de telles choses me laisse un peu sur le c**..le 14/05/2010 à 16:41 -
kuranesMembre éclairéLe piratage c'est de la contrefaçon et non du vol. Les deux sont répréhensibles, à différents degrés, mais faire l'amalgame ne va pas aider au débat sur le piratage.le 14/05/2010 à 16:45
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JidefixMembre éprouvéIl faudrait quand même apprendre à changer de point de vue un petit peu.
Les fraudeurs, les pirates, les délinquants, tu peux te plaindre et cracher dessus tant que tu veux, ils existent et existeront toujours, que tu le veuilles ou non tu partages le même monde, et que tu le veuilles ou non, ils constituent la majorité des consommateurs.
Alors soit tu t'adaptes pour vivre avec, soit tu te braques sur ta morale et ta théorie, tu t'énerves et tu brasses du vent.
Bref, je vois qu'il y a pas moyen de vous décoller du "piratage = vol = interdiction/punition/tolérance zéro".
C'est dommage parce que ça ne fait rien avancer.le 17/05/2010 à 11:41 -
JidefixMembre éprouvéRien à voir.
Le seul mal qu'implique le piratage, c'est théoriquement que comme les gens piratent ils n'achètent pas. Or cette relation de cause à effet est plus que discutable, contrairement au viol et à l'assassinat.
De plus, je ne dis pas qu'il ne faut jamais rien faire, simplement que tant que le piratage reste raisonnable (oui coincé entre les deux extrêmes de ce forum la notion de "raisonnable" semble tout droit venue de Mars), essayer de lutter contre sera plus négatif que positif pour tout le monde.
Ce n'est pas le cas pour la contrebande de médicaments ou de produits ne validant pas les normes européennes par exemple
Ya pas de soucis je veux bien changer ma façon de voire, mais dans ce cas-là pourquoi est ce que moi je payerai parce que j'estime que les gars qui ont passé du temps à créer un logiciel mérite un salaire et à côté toi tu te contenterais de pirater le soft et de profiter des mises à jour grâce à ma contribution financière?
Je suis d'accord qu'en THÉORIE, ça fait un certain nombre de gens qui ne sont pas payés pour leur travail. Mais passons un coup de serpillère et supposons que le piratage n'existe plus, penses-tu que ça impliquerait que plus de gens seraient payés?
Moi je pense surtout que les gens achèteraient autant, mais auraient simplement moins de choix... Soyons lucides si le piratage impliquait un arrêt ou une baisse des ventes ça fait belle lurette que les boites les plus piratées ou contrefaites au monde (Vuitton, Nike, Microsoft, Universal...) ne seraient plus parmi les plus influentes.le 17/05/2010 à 12:21 -
rberthouMembre éclairéJe trouve cela très disproportionné, j'espère que tu ne possèdes aucun divx ou MP3 ou image non libre de droits ou ... pour dire une telle chose.
Les éditeurs ont largement utilisé le piratage comme moyen de diffusion pour imposer leurs logiciels (Borland à l'époque du turbo Pascal, MicroSoft pour MS Office, Visual Studio, ...) Aujourd'hui, demande-toi pourquoi le fait d'être étudiant ou prof te permet d'avoir beaucoup de logiciels gratuitement ou à 10% du prix catalogue.
Personnellement ce qui me choque c'est de trouver dans certaines sociétés des logiciels piratés ou 50 licences d'installées alors qu’elles en possèdent 5.
PS : Je ne pense pas pirater ou du moins pas intentionnellement et j'ai même été piraté à mon heure de gloire (je vendais des composants logiciels).le 17/05/2010 à 16:08 -
D'un autre côté, si les gouvernements voulaient réellement se battre contre le piratage, ils auraient pu le faire mainte et mainte fois.
Deux solutions (il y en a d'autres):
* Brider les vitesse de téléchargement
* Instaurer des prix au Go
Mais avec ces deux solutions, c'est encore celui qui ne piratent pas qui vont payer pour les autres.le 18/05/2010 à 11:46 -
el_slapperExpert éminent séniorBon, moi j'ai longtemps joué à Silent Hunter3. Puis Ubisoft a lançé le 5. Je ne l'ai pas acheté. Je ne veux pas qu'une misérable coupure du net de 10 secondes vienne fiche en l'air 3 heures(de temps réel, celui de la vraie vie) d'approche patiente d'un convoi rosbif. Je joue à autre chose.le 19/05/2010 à 12:58